Letra de J'arrive Pas - Zaz
Letra de canci�n de J'arrive Pas de Zaz lyrics
J'arrive pas � faire autrement que de me fondre dedans
Et de tout ressentir, subtil, des gestes sinc�res en col�re
Qui sommeillent et qui veillent
L'odeur sensible des �tres hostiles, l'aigreur des gens me g�ne.
Je n'arrive pas � faire semblant d'�tre vraie
Quand des pens�es aust�res me transpercent le c�ur,
Me glacent, laissent place � la stupeur, � la pauvret� du sentiment,
Me volent l'envie d'offrir ma joie, me donnent l'effroi,
D'un vide sans quoi l'�clat s'en va ....
J'essaie de ne pleurer le monde qui me semble assassin,
Le monde et son �go qui se charme de mensonges,
J'essaie de me convaincre et d'esp�rer que le monde change,
Que nos esprits conditionn�s se r�veillent et se risquent � l'exode,
L'exode de nos inerties vers des actions palpables,
Que chaque maillon compte et s'en sente responsable.
De ce monde de beaut� qui p�ri sous nos yeux,
De ces enfants sans pain et ces autres qui s'empiffrent,
De ces gens au pouvoir qui laissent crever la terre,
Qui l'ont rendue malade et qui meurtri nos chaires.
Consommation malsaine, tous ces besoins qu'on cr�e,
Et ce drame qui se joue chaque jour sous notre nez.
Urgence d'un temps amoindri par des discours bidons,
https://www.coveralia.com/letras/j-arrive-pas-zaz.php
Qu'on acquiesce d'un geste d'�paule comme de gentils moutons.
J'arrive pas � faire autrement que de me fondre dedans
Et de tout ressentir, subtil, des gestes sinc�res en col�re,
Qui sommeillent et qui veillent.
L'odeur sensible des �tres hostiles, l'aigreur des gens me g�ne.
Je n'arrive pas � faire semblant d'etre vraie,
Quand des pens�es aust�res me transpercent le c�ur,
Me glacent, laissent place � la stupeur, � la pauvret� du sentiment,
Me volent l'envie d'offrir ma joie, me donnent l'effroi,
D'un vide sans quoi l'�clat s'en va ...
Je n'dois pas leur donner de pouvoir,
Laisser glisser sur moi leur perfide blasf�me,
S'ils me touchent c'est que j'ai cess� d'y croire,
Que je m'estime encore bien moins que leur poison qu'ils s�ment.
Prendre soin, cultiver mon jardin d'esp�rance,
Arroser de mon �me et semer � outrance
Tout l'amour que j'innonde de mes pluies d'innocence,
Et c'est ce dont je parle quand je dis "les maillons".
J'arrive pas � faire autrement que de me fondre dedans.
Et de tout ressentir, subtil, des gestes sinc�res en col�re
Qui sommeillent et qui veillent
L'odeur sensible des �tres hostiles, l'aigreur des gens me g�ne.
Je n'arrive pas � faire semblant d'�tre vraie
Quand des pens�es aust�res me transpercent le c�ur,
Me glacent, laissent place � la stupeur, � la pauvret� du sentiment,
Me volent l'envie d'offrir ma joie, me donnent l'effroi,
D'un vide sans quoi l'�clat s'en va ....
J'essaie de ne pleurer le monde qui me semble assassin,
Le monde et son �go qui se charme de mensonges,
J'essaie de me convaincre et d'esp�rer que le monde change,
Que nos esprits conditionn�s se r�veillent et se risquent � l'exode,
L'exode de nos inerties vers des actions palpables,
Que chaque maillon compte et s'en sente responsable.
De ce monde de beaut� qui p�ri sous nos yeux,
De ces enfants sans pain et ces autres qui s'empiffrent,
De ces gens au pouvoir qui laissent crever la terre,
Qui l'ont rendue malade et qui meurtri nos chaires.
Consommation malsaine, tous ces besoins qu'on cr�e,
Et ce drame qui se joue chaque jour sous notre nez.
Urgence d'un temps amoindri par des discours bidons,
https://www.coveralia.com/letras/j-arrive-pas-zaz.php
Qu'on acquiesce d'un geste d'�paule comme de gentils moutons.
J'arrive pas � faire autrement que de me fondre dedans
Et de tout ressentir, subtil, des gestes sinc�res en col�re,
Qui sommeillent et qui veillent.
L'odeur sensible des �tres hostiles, l'aigreur des gens me g�ne.
Je n'arrive pas � faire semblant d'etre vraie,
Quand des pens�es aust�res me transpercent le c�ur,
Me glacent, laissent place � la stupeur, � la pauvret� du sentiment,
Me volent l'envie d'offrir ma joie, me donnent l'effroi,
D'un vide sans quoi l'�clat s'en va ...
Je n'dois pas leur donner de pouvoir,
Laisser glisser sur moi leur perfide blasf�me,
S'ils me touchent c'est que j'ai cess� d'y croire,
Que je m'estime encore bien moins que leur poison qu'ils s�ment.
Prendre soin, cultiver mon jardin d'esp�rance,
Arroser de mon �me et semer � outrance
Tout l'amour que j'innonde de mes pluies d'innocence,
Et c'est ce dont je parle quand je dis "les maillons".
J'arrive pas � faire autrement que de me fondre dedans.
