Letra de Le Petit Homme (One Little Man) - Edith Piaf
Letra de canci�n de Le Petit Homme (One Little Man) de Edith Piaf lyrics
Il y avait de tous les jours,
Il y avait le chahut des carrefours
Et puis les gens qui achetaient leurs journaux
Et puis tous ceux qui prenaient le m�tro,
Il y avait la parade des boulevards,
Les boniments du vieux camelot bavard
Et se mirant dans l'eau sale des ruisseaux,
Le ciel d'avril qui faisait le gros dos.
Il y avait un petit homme
Qui s'en allait � pas compt�s.
Il avait l'air bien �conome,
Le petit homme...
Avec son vieux veston r�p�
Mais il avait une ma�tresse
Qui lui co�tait beaucoup d'argent.
Elle lui vendait sa belle jeunesse
Et des caresses
Que le petit homme payait comptant...
Il y avait sa vie des samedis soirs.
Il y avait l'escalier, le couloir.
Il y avait la porte tout au bout
Et puis deux bras attach�s � son cou.
Il y avait des fleurs sur le piano.
Il y avait la blancheur des rideaux
https://www.coveralia.com/letras/le-petit-homme--one-little-man--edith-piaf.php
Et puis des heures sur le grand divan bleu
Et puis tout �a qui le rendait heureux.
Il y a eu la porte close
Avec un mot pass� dessous,
Joli papier bord� de roses
Pour dire des choses
Que l'on comprend du premier coup.
Un petit homme qu'on abandonne
Ne peut rien faire que s'en aller.
Dans la rue froide o� tout r�sonne
Et sans personne
Tout � fait seul, pour mieux pleurer.
Il y avait la vie de tous les jours
Qui continuait sa fanfare de toujours.
Il y avait les valses des phonos
Qui �clataient en sortant des bistrots.
Il y avait un gar�on qui chantait.
Il y avait une fille qui riait
Et puis la ronde de l'amour merveilleux
Et le petit homme
Qui pleurait au milieu...
Il y avait le chahut des carrefours
Et puis les gens qui achetaient leurs journaux
Et puis tous ceux qui prenaient le m�tro,
Il y avait la parade des boulevards,
Les boniments du vieux camelot bavard
Et se mirant dans l'eau sale des ruisseaux,
Le ciel d'avril qui faisait le gros dos.
Il y avait un petit homme
Qui s'en allait � pas compt�s.
Il avait l'air bien �conome,
Le petit homme...
Avec son vieux veston r�p�
Mais il avait une ma�tresse
Qui lui co�tait beaucoup d'argent.
Elle lui vendait sa belle jeunesse
Et des caresses
Que le petit homme payait comptant...
Il y avait sa vie des samedis soirs.
Il y avait l'escalier, le couloir.
Il y avait la porte tout au bout
Et puis deux bras attach�s � son cou.
Il y avait des fleurs sur le piano.
Il y avait la blancheur des rideaux
https://www.coveralia.com/letras/le-petit-homme--one-little-man--edith-piaf.php
Et puis des heures sur le grand divan bleu
Et puis tout �a qui le rendait heureux.
Il y a eu la porte close
Avec un mot pass� dessous,
Joli papier bord� de roses
Pour dire des choses
Que l'on comprend du premier coup.
Un petit homme qu'on abandonne
Ne peut rien faire que s'en aller.
Dans la rue froide o� tout r�sonne
Et sans personne
Tout � fait seul, pour mieux pleurer.
Il y avait la vie de tous les jours
Qui continuait sa fanfare de toujours.
Il y avait les valses des phonos
Qui �clataient en sortant des bistrots.
Il y avait un gar�on qui chantait.
Il y avait une fille qui riait
Et puis la ronde de l'amour merveilleux
Et le petit homme
Qui pleurait au milieu...