Letra de Le Village - Adamo
Letra de canci�n de Le Village de Adamo lyrics
Il y avait un village tranquille
Et dans ses rues des enfants qui jouaient
Dans les bistrots les vieillards volubiles
Se souvenaient de tout et racontaient
Il y avait la paisible pagaille
Des gens venus de tous les horizons
M�me s'ils vivaient parfois vaille que vaille
Ils partageaient le vin et les chansons
On chantait pour les semailles
On chantait pour la moisson
On f�tait les �pousailles
L'amour avait sa saison
N'�tait-ce qu'une illusion ?
Un jour, les hommes au gr� de leur superbe
Ont avou� d'�tranges nostalgies
Chacun son Dieu, son roi, chacun son verbe
Chacun son sang, son rang, sa m�re-patrie
https://www.coveralia.com/letras/le-village-adamo.php
Et le village fut un champ de bataille
Et la folie dirigeait ses arm�es
On le saigna, retourna ses entrailles
Et dans ses rues les enfants sont tomb�s
On oublia les semailles
On oublia la moisson
Oubli�es les �pousailles
La haine avait sa saison
La mort a toujours raison
Dans le village les maisons sont d�sertes
Des chiens errants attendent les absents
Ils sont ailleurs o� l'herbe est bien moins verte
Ou nulle part. Sont-ils au moins vivants ?
J'�teins la t�l�vision.
Et dans ses rues des enfants qui jouaient
Dans les bistrots les vieillards volubiles
Se souvenaient de tout et racontaient
Il y avait la paisible pagaille
Des gens venus de tous les horizons
M�me s'ils vivaient parfois vaille que vaille
Ils partageaient le vin et les chansons
On chantait pour les semailles
On chantait pour la moisson
On f�tait les �pousailles
L'amour avait sa saison
N'�tait-ce qu'une illusion ?
Un jour, les hommes au gr� de leur superbe
Ont avou� d'�tranges nostalgies
Chacun son Dieu, son roi, chacun son verbe
Chacun son sang, son rang, sa m�re-patrie
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Et le village fut un champ de bataille
Et la folie dirigeait ses arm�es
On le saigna, retourna ses entrailles
Et dans ses rues les enfants sont tomb�s
On oublia les semailles
On oublia la moisson
Oubli�es les �pousailles
La haine avait sa saison
La mort a toujours raison
Dans le village les maisons sont d�sertes
Des chiens errants attendent les absents
Ils sont ailleurs o� l'herbe est bien moins verte
Ou nulle part. Sont-ils au moins vivants ?
J'�teins la t�l�vision.