Letra de Si - Zaz
Letra de canci�n de Si de Zaz lyrics
Si j'�tais l'amie du bon Dieu
Si je connaissais les pri�res.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'�tais reine ou magicienne
princesse, f�e, grand capitaine,
d'un noble r�giment.
Si j'avais les pas d'un g�ant.
Je mettrais du ciel en mis�re,
Toutes les larmes en rivi�re,
Et fleurirais des sables
o� filent m�me l'espoir
Je s�merais des utopies,
plier serait interdit,
On ne d�tournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des ma�tres, des puissants.
Si j'avais les cl�s de leurs �mes.
Si je savais prendre les armes.
Au feu d'une arm�e de titans.
https://www.coveralia.com/letras/si-zaz.php
J'allumerais des flammes,
Dans les r�ves �teints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des �den.
Aux pas de chances, aux pas d'�toiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un c�ur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de c�urs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y r�sisteraient ?
Un monde fort, une terre �me s�ur,
Nous b�tirons dans ces cendres
Peu � peu, miette � miette,
goutte � goutte et c�ur � c�ur
Peu � peu, miette � miette,
goutte � goutte et c�ur � c�ur
Si je connaissais les pri�res.
Si j'avais le sang bleu.
Le don d'effacer et tout refaire.
Si j'�tais reine ou magicienne
princesse, f�e, grand capitaine,
d'un noble r�giment.
Si j'avais les pas d'un g�ant.
Je mettrais du ciel en mis�re,
Toutes les larmes en rivi�re,
Et fleurirais des sables
o� filent m�me l'espoir
Je s�merais des utopies,
plier serait interdit,
On ne d�tournerait plus les regards.
Si j'avais des milles et des cents,
Le talent, la force ou les charmes,
Des ma�tres, des puissants.
Si j'avais les cl�s de leurs �mes.
Si je savais prendre les armes.
Au feu d'une arm�e de titans.
https://www.coveralia.com/letras/si-zaz.php
J'allumerais des flammes,
Dans les r�ves �teints des enfants.
Je mettrais des couleurs aux peines.
J'inventerais des �den.
Aux pas de chances, aux pas d'�toiles, aux moins que rien.
Mais je n'ai qu'un c�ur en guenille,
Et deux mains tendues de brindilles.
Une voix que le vent chasse au matin.
Mais si nos mains nues se rassemblent,
Nos millions de c�urs ensembles.
Si nos voix s'unissaient,
Quels hivers y r�sisteraient ?
Un monde fort, une terre �me s�ur,
Nous b�tirons dans ces cendres
Peu � peu, miette � miette,
goutte � goutte et c�ur � c�ur
Peu � peu, miette � miette,
goutte � goutte et c�ur � c�ur